En cette première partie du siècle, Antoine Combert vivait à Paris au dernier étage d’un bel immeuble. Son appartement comportait de nombreuses boiseries, des miroirs en enfilades et des caméras, de vidéo-surveillance, ou pas.

Ses doigts passaient régulièrement sur les vitres et les glaces pour réveiller les souvenirs, caresser ses envies et observer leurs ombres. […]